L'impression 3D
: une plus-value pour l'officine ?

  • Paul SIMONIS

Student thesis: Master typesMaster en sciences pharmaceutiques, à finalité spécialisée

Résumé

L’article 7 du code de déontologie du pharmacien stipule : « Il est de son devoir de maintenir son niveau de compétence et d’actualiser en permanence ses connaissances scientifiques. » Que signifie cette obligation aujourd’hui à l’heure des nouvelles technologies ? La thématique de ce mémoire porte sur l’opportunité de l’utilisation d’un nouvel outil dans le domaine de la pharmacie: l’impression 3D. Cette technologie constitue-t-elle une plus-value pour l’officine ? Afin d’apporter une réponse à cette question, ce travail aborde l’histoire de l’impression 3D, son utilisation dans le domaine médical. Les différentes technologies d’impression 3D pouvant être utilisées en officine y sont développées avec un focus sur l’impression 3D par déposition de filament fondu en tant que technique la plus adaptée pour l’usage en officine, du moins dans un premier temps. Ensuite, un chapitre précise les opportunités de l’utilisation de l’impression 3D par FDM dans l’industrie pharmaceutique, tant dans le milieu hospitalier qu’en officine. Enfin, un chapitre est dédié aux défis à surpasser afin d’implémenter l’impression 3D en officine. Pour conclure, il apparaît que cette technologie apporterait bien une plus-value à l’officine en améliorant la prise en charge thérapeutique des patients. En effet, elle apporterait des progrès en matière de médecine personnalisée avec une plus grande précision de la posologie, une compliance du patient, la pharmacocinétique et une rapidité de fabrication.
la date de réponse29 mars 2023
langue originaleFrançais
L'institution diplômante
  • Universite de Namur
SuperviseurAnna Lechanteur (Promoteur)

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