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Résumé
La science de la vie ne se limite pas à la biologie moléculaire qui s’est imposée depuis près d’un siècle et qui s’enracine dans un paradigme l’assimilant à une branche spéciale de la chimie et, finalement, la réduisant à la physique. Il est ici fait référence à une autre biologie, à savoir celle qui s’intéresse à la forme. Et de la forme au formalisme, il n’y a qu’un pas que cette biologie théorique franchit sans hésiter. Cette contribution s'appuie plus précisément sur les travaux d’un disciple de N. Rashevsky, à savoir le biologiste et mathématicien américain Robert Rosen (1934-1998) dont les contributions à la biologie théorique relationnelle mériteraient sans doute une plus grande attention. Ce texte n'est pas une tentative, plus ou moins détournée, de naturalisation du principe de jouissance, et donc de l’inconscient. Plutôt que d’enfermer dans une nature, aussi sophistiquée soit-elle, l’acte fondateur de la vie que traque le biologiste théoricien, l’approche proposée est au contraire dénaturalisante. Une étape centrale du propos consistera à présenter une relation de modélisation permettant justement de dénoncer les limites de toute tentative de naturalisation.
langue originale | Français |
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titre | Conséquences cliniques du principe de jouissance |
Lieu de publication | Louvain-La-Neuve |
Editeur | EME éditions |
Pages | de 63 à 88 |
Nombre de pages | 25 |
ISBN (imprimé) | 978-2-8066-3743-7 |
Etat de la publication | Publié - 30 juin 2021 |
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