Détails du projet
Description
L'objectif de la recherche est de disposer d'outils diagnostiques performants pour pouvoir détecter et quantifier les indicateurs microbiologiques (E. coli, Costridium perfringens, bacteriophages), les bactéries pathogènes (Salmonella, Vibrio Parahaemolyticus, Vibrio cholerae, Vibrio vulnificus, Clostridium botulinum) et les virus (Norovirus et Hépatite A) contenus dans les fruits de mer.
Ces outils seront de trois types: premièrement, un test en PCR en temps réel et deuxièmement une puce à ADN regroupant la détection de ces 10 microorganismes et troisièmement un kit de détection immunologique des principaux pathogènes par cytométrie de flux.
La biochips permettra de détecter et d'identifier plusieurs organismes patogènes en un seul test sensible, en un temps réduit et ce à moindre coût. La biochips permettra d'orienter et de limiter le nombre de tests de PCR en temps réel à effectuer permettant de façon absolue le ou (les) pathogène(s) présent(s) dans l'échantillon. Ce qui de ce fait réduit également le coût global de la quantification.
La cytométrie de flux permettra de détecter les microorganismes par une réaction antigène-anticorps. En ce qui concerne les bactéries, la cytométrie de flux permet de trier les microsphères positives. Il sera alors possible d'ensemencer ces billes sur un milieu sélectif pour ces bactéries afin de réaliser des tests de confirmation et de détermination du pathotype.
Ces outils seront de trois types: premièrement, un test en PCR en temps réel et deuxièmement une puce à ADN regroupant la détection de ces 10 microorganismes et troisièmement un kit de détection immunologique des principaux pathogènes par cytométrie de flux.
La biochips permettra de détecter et d'identifier plusieurs organismes patogènes en un seul test sensible, en un temps réduit et ce à moindre coût. La biochips permettra d'orienter et de limiter le nombre de tests de PCR en temps réel à effectuer permettant de façon absolue le ou (les) pathogène(s) présent(s) dans l'échantillon. Ce qui de ce fait réduit également le coût global de la quantification.
La cytométrie de flux permettra de détecter les microorganismes par une réaction antigène-anticorps. En ce qui concerne les bactéries, la cytométrie de flux permet de trier les microsphères positives. Il sera alors possible d'ensemencer ces billes sur un milieu sélectif pour ces bactéries afin de réaliser des tests de confirmation et de détermination du pathotype.
Acronyme | DIASEA |
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statut | Fini |
Les dates de début/date réelle | 1/07/05 → 30/06/08 |
mots-clés
- bactérie
- PCR
- bacterie
- biochips
Empreinte digitale
Explorez les thèmes de recherche abordés par ce projet. Ces libellés sont générés sur la base des prix/subventions sous-jacents. Ensemble, ils forment une empreinte digitale unique.