Abstract
Cet article s’attache à démontrer l’intérêt et la pertinence des études menées sur la réception des « monuments » (vestiges architecturaux) romains ayant subsisté jusqu’à nos jours. Cet objet de recherche se situe en effet à la croisée de différentes époques et de différentes disciplines et ne s’intègre pas toujours bien dans les cadres traditionnels de la recherche universitaire. Cette contribution entend illustrer la fécondité d’une telle approche et revenir sur ses enjeux, au travers de deux cas d’étude issus des Pays-Bas méridionaux : le mausolée d’Igel et la voie Bavay-Tongres. L’étude de ces deux « monuments » permet de mettre en lumière l’intérêt tant archéologique, qu’historique et patrimonial d’une recherche menée en ce sens.
Original language | French |
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Pages (from-to) | 187-208 |
Journal | Anabases : Traditions et réceptions de l’Antiquité |
Volume | 36 |
DOIs | |
Publication status | Published - 2022 |