@inproceedings{bcdc111dc6814b99ae7c3ba6a8173a6f,
title = "L'{\^e}tre cr{\'e}{\'e}: Essai d'anthropologie biblique",
abstract = "Selon la Bible, chaque {\^e}tre humain est un {\^e}tre cr{\'e}{\'e}. Le Ber{\'e}{\textquoteright}sh{\^i}t bara{\textquoteright} {\textquoteright}Eloh{\^i}m, « au commencement Dieu cr{\'e}a », le concerne aussi. Mais qu{\textquoteright}est-ce que la r{\'e}{\textquoteright}sh{\^i}t, le « commencement », pour un {\^e}tre cr{\'e}{\'e} ? Apr{\`e}s avoir examin{\'e} le point de vue de Dieu et du narrateur de Gen{\`e}se 1, j{\textquoteright}ai examin{\'e} ce qu{\textquoteright}en pensent quelques-uns des {\^e}tres cr{\'e}{\'e}s de l{\textquoteright}Ancien Testament : deux hommes, Job et le Serviteur Souffrant d{\textquoteright}Isa{\"i}e, et une femme, la m{\`e}re des sept fils morts martyrs du Second livre des Maccab{\'e}es. Ces textes ont la commune particularit{\'e} d{\textquoteright}exprimer ensemble l{\textquoteright}{\^e}tre cr{\'e}{\'e} et l{\textquoteright}{\^e}tre con{\c c}u. Ils proposent aussi {\`a} chacun une sorte d{\textquoteright}« embrayage » sur son {\^e}tre cr{\'e}{\'e} qui permet {\`a} la relation avec le Cr{\'e}ateur, asym{\'e}trique, de devenir mutuelle. L{\textquoteright}article s{\textquoteright}ach{\`e}ve par une ouverture sur le « fondement » que sugg{\`e}re le Nouveau Testament – et particuli{\`e}rement le prologue johannique – pour chaque {\^e}tre cr{\'e}{\'e}.",
keywords = "Bible, cr{\'e}ation, anthropologie biblique",
author = "Fran{\c c}oise Mies",
year = "2013",
language = "Fran{\c c}ais",
series = "Donner raison",
publisher = "Editions Lessius",
pages = "77--101",
booktitle = "Que soit! L'id{\'e}e de cr{\'e}ation comme don {\`a} la pens{\'e}e",
}